Nos cerveaux se synchronisent lors d’un spectacle vivant
Une étude révèle que l’expérience collective d’un spectacle vivant synchronise les cerveaux des spectateurs, renforçant l’attraction produite et le sentiment de cohésion sociale.
Une étude révèle que l’expérience collective d’un spectacle vivant synchronise les cerveaux des spectateurs, renforçant l’attraction produite et le sentiment de cohésion sociale.
Une étude révèle que chez les patients dépressifs, les thérapies cognitivo-comportementales ne soulagent pas seulement les symptômes de la maladie : elles modifient aussi la structure de leur cerveau.
Dans la maladie de Parkinson, l’agrégation d’une protéine, l’alpha-synucléine, perturbe les centrales énergétiques des neurones, précipitant leur dégénérescence.
Instinctivement, nous classons les nombres sur une ligne mentale orientée de gauche à droite. Cette représentation semble innée et serait liée à l’asymétrie des hémisphères de notre cerveau.
Une vaste étude a mis en évidence sept dimensions qui caractérisent la variabilité des profils autistiques, dont certaines sont associées à des facteurs génétiques identifiés. Une découverte qui ouvre la voie à des prises en charge plus ciblées.
Certains aliments, comme les produits laitiers ou les sucreries, perturbent le sommeil et augmentent le risque de cauchemars. À l’inverse, une alimentation saine et peu copieuse le soir améliore le repos nocturne.
On ne peut hélas pas décoder le sens exact des pleurs de son bébé. Mais leur intensité et leur irrégularité révèlent toutefois un indice précieux : le niveau de douleur ressenti.
Une étude sur 95 espèces de primates révèle que la longueur du pouce est liée à la taille du cerveau et à la dextérité fine, suggérant une coévolution entre la main et les capacités cérébrales.
Une étude révèle que notre cerveau déclenche une réponse immunitaire préventive lorsque nous détectons visuellement des signes de maladie dans notre entourage.
Des chercheurs ont montré qu’une greffe de moelle osseuse pouvait freiner la progression de la leucodystrophie liée au gène CSF1R, apportant un nouvel espoir thérapeutique.
Richard Levy
Une nouvelle technique de marquage fluorescent a permis de mieux visualiser les neurones du tubercule olfactif, qui associent des émotions aux odeurs.
Pour près d’une personne sur vingt-cinq, visualiser mentalement un visage ou un souvenir est impossible. Ce phénomène appelé « aphantasie » reste en partie énigmatique. Mais il pourrait résulter d’un défaut de connectivité neuronale.
Une équipe coréenne a mis au point une molécule capable de réduire les symptômes du stress post-traumatique chez des souris. Elle a déjà passé un premier stade d’essais cliniques chez l’homme.
Parler dans le dos d’autrui n’est pas un acte anodin : cela mobilise des mécanismes cognitifs sophistiqués visant à préserver sa position sociale tout en évitant les représailles.
Regarder en boucle des vidéos courtes sur les réseaux sociaux affaiblit le contrôle cognitif et favorise des choix risqués et impulsifs.
La « coolitude» signifie la même chose d’un continent à l’autre : un mélange d’audace, d’indépendance et de bienveillance, comme le révèle une étude mondiale.
Une équipe de l’institut Pasteur a retrouvé des traces du virus dans le tronc cérébral de hamsters plus de deux mois après l’infection. Il y altère les neurones et les comportements.
Une seule dose de psilocybine, combinée à un accompagnement thérapeutique, pourrait réduire durablement la consommation d’alcool chez les patients dépendants.
Dans un contexte de polarisation croissante, une étude révèle qu’un simple jeu de questions-réponses en binôme peut atténuer l’hostilité entre citoyens de camps antagonistes.
Cette coupe cérébrale issue d’un modèle primate révèle les mécanismes cérébraux majeurs sous-jacents à cette maladie.